Le Bambou de l'esprit et le nerf de la paix

Sur le parcours de la résistance, trois éléments sont essentiels, l'esprit, le coeur et le corps, si l'esprit est suffisamment fort pour ne pas rompre, il doit cependant être attentif aux deux suivants.
Le coeur, vital et nécessaire quand le premier vacille dans les profondeurs envahissantes des eaux troubles, puis enfin le corps, car si les deux premiers sont emprunt à préserver l'équilibre l'enveloppe corporelle aux organes vitaux prennent néanmoins de plein fouet les répercutions émotionnelles des tensions parfois insoutenable et c'est malgré tout quand le corps exprime sa souffrance que l'esprit peut emprunter les ailes de la pensée.

Dans la démarche de ceux qui veulent la paix, sous couvert d'une force plus que d'une faiblesse, ceux-ci seront toujours confronté aux "malins" ou l'art de la guerre est vécu comme une quête, celle de la destruction.
Ces deux visages de la confrontation accomplissent souvent leur destiné lorsque l'un des deux se complait à combattre sans loyauté ni compassion.

Le nerf de la paix

Ce nerf là, ne s'oriente pas avec outrance à la gentillesse et à la naïveté, car gentil n'a qu'un œil et l'autre veille à l'incrédulité, mais à la bonté ou l'égalité des chances et les chemins du possible ce font l'écho du pardon envers les offances de ces ennemis, car la bonté engendre la bonté sauf chez les intégristes de la bêtise humaine, c'est ainsi que l'on peut mesurer la vie d'une personne aux nombres de ces ennemis et de ces collaborateurs.

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