Entre mémoire et oubli

Dans la solidité du travail du deuil, le souvenir ce confronte à la construction d'une guérison ou la frontière entre la mémoire et l'oubli est si mince, qu'il faut pouvoir nourrir en soi, la culture de l'acceptation des traces des blessures et des douleurs, le traumatisme peut ainsi structurer une élévation plutôt qu'un gémissement d'un retour permanent au ressassement, la conscience d'éviter  de ce complaire dans le registre du malheur, donne matière à se libérer des chaines de l'emprise de la souffrance et c'est dans le calme et le silence intérieur que l'on peut monter l'échec du conflit.

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